Ce que propose le gouvernement
Le gouvernement français n’a pas encore formulé de programme précis pour aborder la PFUE. Il est censé présenter sa feuille de route le 16 décembre. C’est pourquoi, Générations Futures a envoyé ce document de positionnement ce matin aux cibles politiques adéquates afin d’influencer l’élaboration du programme.
Il est primordial de diffuser en grand nombre cette interpellation afin de favoriser la prise en compte de nos demandes et d’influer sur les orientations futures de cette PFUE.
Ce que nous voulons
Nos demandes reposent sur 6 axes principaux :
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- la réduction aux expositions des populations et de l’environnement aux substances chimiques toxiques. Cela se traduit par l’opposition à l’autorisation du glyphosate, la production de plans nationaux stratégiques ambitieux, la diminution de l’utilisation des pesticides et la mise en place d’un étiquetage environnemental pertinent.
- l’évolution de la réglementation européenne qui encadre les substances chimiques. En pratique : réviser les approches , les critères et les définitions; promouvoir la mise en place de tests de toxicité; réviser les conditions de mise sur le marché; accentuer la transparence des données industrielles et s’opposer aux doubles-standards qui permettent d’importer des aliments non conformes aux normes européennes; plaider pour une surveillance indépendante.
- l’accélération et l’amélioration de la recherche. Cela concerne les différentes substances et les effets cocktails; la mise en place de méthode de tests adéquates pour les perturbateurs endocriniens ainsi que la promotion d’un Institut des sciences de la santé environnementale européen.
- Doter l’Europe d’outils statistiques pour mener une politique de santé environnementale globale. Cela permettrait, entre autres, de développer un système d’information au niveau européen, des outils de collecte et de publication dans le cadre de la réforme européenne sur les statistiques agricoles.
- Responsabiliser les industriels et faire appliquer le principe pollueur-payeur. Soit prendre des sanctions financières et augmenter la fiscalité, rendre la substitution et le développement de cycle de matériaux non toxiques obligatoire et mettre en place une clause qui oblige les industriels à porter la majeure partie des coûts de recherche et de développement de la substitutions.
- Valoriser les alternatives viables à travers la promotion de l’agriculture biologique, l’opposition aux OGM et aux nouveaux OGM. Aussi, ne pas prétendre au niveau de la commission et des Etats membres que la HVE est une alternative viable.
- Document de demandes Produits Chimiques Générations Futures et ses soutiens
- Document de demandes (pesticides) PAN Europe Générations Futures
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Nos demandes reposent sur 6 axes principaux :
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- la réduction aux expositions des populations et de l’environnement aux substances chimiques toxiques. Cela se traduit par l’opposition à l’autorisation du glyphosate, la production de plans nationaux stratégiques ambitieux, la diminution de l’utilisation des pesticides et la mise en place d’un étiquetage environnemental pertinent.
- l’évolution de la réglementation européenne qui encadre les substances chimiques. En pratique : réviser les approches , les critères et les définitions; promouvoir la mise en place de tests de toxicité; réviser les conditions de mise sur le marché; accentuer la transparence des données industrielles et s’opposer aux doubles-standards qui permettent d’importer des aliments non conformes aux normes européennes; plaider pour une surveillance indépendante.
- l’accélération et l’amélioration de la recherche. Cela concerne les différentes substances et les effets cocktails; la mise en place de méthode de tests adéquates pour les perturbateurs endocriniens ainsi que la promotion d’un Institut des sciences de la santé environnementale européen.
- Doter l’Europe d’outils statistiques pour mener une politique de santé environnementale globale. Cela permettrait, entre autres, de développer un système d’information au niveau européen, des outils de collecte et de publication dans le cadre de la réforme européenne sur les statistiques agricoles.
- Responsabiliser les industriels et faire appliquer le principe pollueur-payeur. Soit prendre des sanctions financières et augmenter la fiscalité, rendre la substitution et le développement de cycle de matériaux non toxiques obligatoire et mettre en place une clause qui oblige les industriels à porter la majeure partie des coûts de recherche et de développement de la substitutions.
- Valoriser les alternatives viables à travers la promotion de l’agriculture biologique, l’opposition aux OGM et aux nouveaux OGM. Aussi, ne pas prétendre au niveau de la commission et des Etats membres que la HVE est une alternative viable.
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