Interpellations
Monsieur le Ministre de la Santé, agissez contre l'usage des pesticides chimiques pour protéger la santé publique !
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Contexte
Certains pesticides chimiques font leur retour dans nos champs. Deux textes adoptés récemment (une proposition et un projet de loi) affaiblissent notre cadre législatif relatif à l’usage des pesticides chimiques en France.
Ces pesticides chimiques se retrouvent dans notre alimentation, notre eau potable et l’air que nous respirons. Aujourd’hui :
• 97 % des eaux souterraines en France contiennent des résidus de pesticides chimiques
• Près de 17 millions de Français ont consommé au moins une fois en 2023 de l’eau du robinet non conforme aux limites de qualité pour les pesticides chimiques
• Près des deux tiers des fruits, légumes et céréales non biologiques présentent des traces de ces substances, parfois au-delà des seuils légaux.
Nous sommes toutes et tous exposés.
Objectifs
Face à cette exposition aux pesticides chimiques et ces reculs, il est urgent d’agir, interpellons le ministre de la Santé et son cabinet afin qu'il défende la santé publique !
Pour cela, une coalition inédite d’associations environnementales (Générations Futures, Secrets Toxiques, Noé, On est Prêt), d’acteurs économiques (La Maison de la Bio, Ecotone) et des mutuelles engagées, en lien avec Data For Good est née autour d'une campagne clé : TOUS EXPOSÉS. Nous avons besoin de vous pour emmener cette campagne plus loin.
L'objectif : demander à Yannick Neuder, ministre chargé de la Santé, d’intégrer la non-exposition aux pesticides chimiques dans les futures stratégies nationales sur l’alimentation (notamment dans la SNANC) et d'inscrire dans la loi un objectif de 12% de consommation de produits issus de l’agriculture biologique en 2030.
👉 La proposition de loi visant à "lever les contraintes à l'exercice du métier d'agriculteur" (dite "Duplomb") adoptée au Sénat
👉 La loi d’orientation agricole, adoptée en urgence avant le Salon de l’agriculture, adoptée au Parlement
Ces lois prévoient :
❌ Le retour de certains pesticides chimiques, notamment les néonicotinoïdes.
❌ L’autorisation des pulvérisations de pesticides par drone.
❌ La réduction du pouvoir d’action de l'Anses et des associations environnementales sur les décisions sanitaires.
❌ La dépénalisation de certaines infractions environnementales, en transformant des délits en simples amendes administratives, réduisant ainsi les contrôles et sanctions contre les atteintes à la nature.
Face à cette exposition aux pesticides chimiques, interpellons le ministre de la Santé pour qu'il agisse !
Alors que se tient en ce moment le Salon de l’Agriculture, nous demandons au ministre de la Santé de :
1️⃣ Défendre la santé publique en s’opposant fermement à cette régression environnementale et sanitaire.
2️⃣ Inscrire durablement la non exposition aux pesticides chimiques dans les futures stratégies nationales sur l’alimentation
3️⃣ Inscrire dans la loi un objectif de 12% de consommation de produits issus de l’agriculture biologique.
Interpellez le Ministre de la Santé et son cabinet (-)
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Nous sommes toutes et tous exposés aux pesticides chimiques : dans notre alimentation, notre eau potable et l’air que nous respirons.
Les chiffres du site tousexposes.fr sont éclairants :
• 97% des stations de contrôle de l’eau contiennent au moins un résidu de pesticide chimique.
• Près de 17 millions de français ont consommé au moins une fois en 2023 de l’eau du robinet non conforme aux limites de qualité pour les pesticides chimiques.
• Près des deux tiers des fruits, légumes et céréales non biologiques présentent par ailleurs des traces de ces substances, parfois au-delà des seuils légaux.
Pourtant, le Sénat a adopté une proposition de loi permettant la réintroduction de pesticides interdits, dont les néonicotinoïdes, et affaiblissant les prérogatives de l’Anses, malgré les enjeux sanitaires.
Alors que le Salon de l’Agriculture vient de s'ouvrir, nous demandons au Monsieur le Ministre, de protéger la santé publique en refusant toute régression. Plus largement, nous vous demandons l’inscription d'un objectif de 12% de consommation de produits issus de l'agriculture biologique dans la prochaine stratégie nationale sur l'alimentation.
Dans l’attente de votre réponse, je vous prie d’agréer, Monsieur, l’expression de ma considération distinguée.
Nous sommes toutes et tous exposés aux pesticides chimiques : dans notre alimentation, notre eau potable et l’air que nous respirons.
Les chiffres du site tousexposes.fr sont éclairants :
• 97% des stations de contrôle de l’eau contiennent au moins un résidu de pesticide chimique.
• Près de 17 millions de français ont consommé au moins une fois en 2023 de l’eau du robinet non conforme aux limites de qualité pour les pesticides chimiques.
• Près des deux tiers des fruits, légumes et céréales non biologiques présentent par ailleurs des traces de ces substances, parfois au-delà des seuils légaux.
Pourtant, le Sénat a adopté une proposition de loi permettant la réintroduction de pesticides interdits, dont les néonicotinoïdes, et affaiblissant les prérogatives de l’Anses, malgré les enjeux sanitaires.
Alors que le Salon de l’Agriculture vient de s'ouvrir, nous demandons au Monsieur le Ministre, de protéger la santé publique en refusant toute régression. Plus largement, nous vous demandons l’inscription d'un objectif de 12% de consommation de produits issus de l'agriculture biologique dans la prochaine stratégie nationale sur l'alimentation.
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• 97% des stations de contrôle de l’eau contiennent au moins un résidu de pesticide chimique.
• Près de 17 millions de français ont consommé au moins une fois en 2023 de l’eau du robinet non conforme aux limites de qualité pour les pesticides chimiques.
• Près des deux tiers des fruits, légumes et céréales non biologiques présentent par ailleurs des traces de ces substances, parfois au-delà des seuils légaux.
Pourtant, le Sénat a adopté une proposition de loi permettant la réintroduction de pesticides interdits, dont les néonicotinoïdes, et affaiblissant les prérogatives de l’Anses, malgré les enjeux sanitaires.
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• 97% des stations de contrôle de l’eau contiennent au moins un résidu de pesticide chimique.
• Près de 17 millions de français ont consommé au moins une fois en 2023 de l’eau du robinet non conforme aux limites de qualité pour les pesticides chimiques.
• Près des deux tiers des fruits, légumes et céréales non biologiques présentent par ailleurs des traces de ces substances, parfois au-delà des seuils légaux.
Pourtant, le Sénat a adopté une proposition de loi permettant la réintroduction de pesticides interdits, dont les néonicotinoïdes, et affaiblissant les prérogatives de l’Anses, malgré les enjeux sanitaires.
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• Près de 17 millions de français ont consommé au moins une fois en 2023 de l’eau du robinet non conforme aux limites de qualité pour les pesticides chimiques.
• Près des deux tiers des fruits, légumes et céréales non biologiques présentent par ailleurs des traces de ces substances, parfois au-delà des seuils légaux.
Pourtant, le Sénat a adopté une proposition de loi permettant la réintroduction de pesticides interdits, dont les néonicotinoïdes, et affaiblissant les prérogatives de l’Anses, malgré les enjeux sanitaires.
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• Près de 17 millions de français ont consommé au moins une fois en 2023 de l’eau du robinet non conforme aux limites de qualité pour les pesticides chimiques.
• Près des deux tiers des fruits, légumes et céréales non biologiques présentent par ailleurs des traces de ces substances, parfois au-delà des seuils légaux.
Pourtant, le Sénat a adopté une proposition de loi permettant la réintroduction de pesticides interdits, dont les néonicotinoïdes, et affaiblissant les prérogatives de l’Anses, malgré les enjeux sanitaires.
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